Madame Mary

Ces 8 films d’horreur sur Netflix vont hanter vos nuits : le #5 va vous glacer le sang !

Pourquoi on adore frissonner devant Netflix

Chez MadameMary.fr, je crois fermement que chaque soirée cocooning mérite sa dose de sensations fortes. Et quoi de mieux qu’un film d’horreur pour mettre un peu de piment dans nos moments « cocooning » ? Grâce à Netflix, l’offre est désormais pléthorique et accessible d’un simple clic. Que vous soyez une adepte des ambiances oppressantes, des slasher cultes ou des explorations d’univers fantastiques, la plateforme regorge de pépites pour satisfaire les plus intrépides d’entre nous.

Déjame salir (Get Out, 2017)

Premier coup de cœur incontournable, la réalisation de Jordan Peele a redéfini le genre « horreur sociale ». On y suit Chris, magnifiquement interprété par Daniel Kaluuya, qui se rend avec sa petite amie Rose chez ses parents « très accueillants ». Sous le vernis bien-pensant, chaque plan regorge d’indices oppressants, jusqu’à l’irruption du fantastique. Un Oscar du meilleur scénario, une critique aiguë des faux-semblants et un suspense maîtrisé : ce film est à voir absolument pour débuter votre marathon frissons.

It (2017)

L’adaptation du best-seller de Stephen King a fait trembler la planète cinéma. Portée par Bill Skarsgård dans le rôle terrifiant de Pennywise, cette fresque d’horreur adolescente mixe la nostalgie des années 90 et les peurs enfantines. Entre courses-poursuites dans les égouts et apparitions cauchemardesques, vous n’échapperez pas au clown qui hante vos pires souvenirs d’enfance. Idéal pour partager un grand bol de popcorn (et cacher les yeux de temps en temps !).

Un lieu plus sombre (A Quiet Place, 2018)

Imaginez un futur où le moindre bruit peut provoquer votre perte… C’est le pari audacieux de John Krasinski, également à l’affiche aux côtés d’Emily Blunt. Ce thriller post-apocalyptique joue sur un silence absolu et un suspense haletant. L’absence de musique renforce l’immersion : chaque craquement de plancher, chaque chuchotement devient source de tension. Un chef-d’œuvre minimaliste et poignant pour celles qui aiment ressentir chaque battement de leur cœur.

Tiburón (Jaws, 1975)

Steven Spielberg signe ici un classique indétrônable. Même après toutes ces années, la bande-originale de John Williams vous glacera le sang dès les premières notes. La petite station balnéaire de Amity devient le théâtre d’attaques meurtrières d’un grand requin blanc. Suspense, mise en scène millimétrée et scènes mythiques : l’une des meilleures raisons de ne jamais s’aventurer dans l’eau sans garder un œil sur votre écran !

El hoyo (The Platform, 2019)

Distorsion dystopique venue d’Espagne, ce film vous plonge dans une prison verticale où une plate-forme chargée de nourriture descend chaque jour à travers les niveaux. Deux détenus par palier, une ration pour tous : la tension sociale monte rapidement et se transforme bientôt en lutte pour la survie. Loin des effets faciles, El hoyo propose une métaphore choc du partage des ressources et révèle des performances intenses d’Ivan Massagué et Zorion Eguileor.

Le jeu de Gerald (Gerald’s Game, 2017)

Adapté d’une nouvelle de Stephen King, ce huis clos psychologique se déroule presque intégralement dans une cabane isolée. Après un jeu érotique qui tourne mal, Jessie se retrouve menottée au lit, seule face à ses angoisses et ses souvenirs traumatiques. Carla Gugino porte ce thriller sur ses épaules, entre hallucinations et flashbacks. Un suspense tout en intériorité et une exploration du courage d’une femme en plein affolement.

Verónica (2017)

Le cinéma de genre espagnol brille avec ce film de Paco Plaza, inspiré d’une histoire vraie relatée par la police espagnole. Une adolescente tente une séance de spiritisme avec ses amies et réveille une présence maléfique. Filmé caméra à l’épaule, Verónica joue sur le réalisme et l’ambiance étouffante d’un Madrid des années 90. Rien de tel pour plonger dans un cauchemar qui semble effleurer notre réalité.

La rue de la terreur : 1994 (Fear Street: 1994, 2021)

Pour finir en beauté, laissez-vous emporter par la trilogie Fear Street, dont la première partie se déroule en 1994. Slasher teenage, rites occultes et ambiance rétro, ce premier volet capture brillamment l’esprit des années 90. Les adolescents de Shadyside se retrouvent au cœur d’une malédiction ancestrale, et la tension va crescendo entre potes, cri et courses-poursuites. Un cocktail explosif pour les fans de scream movies modernes.

Conseils pour votre marathon horreur

Prêtes pour une semaine 100 % frissons ? Éteignez les lampes, montez le son et laissez Netflix vous embarquer dans ses cauchemars les plus captivants. Bon visionnage !

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