Madame Mary

Incroyable : cet exercice de force méconnu fait chuter votre cholestérol sans toucher à votre alimentation !

Depuis toujours préoccupée par mon taux de cholestérol – un souvenir d’enfance où, à 11 ans, je découvrais déjà le mot “hypercholestérolémie” –, j’ai expérimenté de nombreux régimes et traitements. Pourtant, ce n’est qu’en arrivant à la trentaine que j’ai pris conscience d’une arme trop souvent négligée : la musculation. Oui, les exercices de force, ces mouvements que mon médecin n’évoquait jamais, se sont révélés décisifs pour stabiliser mon cholestérol, tout en me permettant de réduire ma dose de médicament.

Pourquoi la musculation fait toute la différence

On entend souvent que le sport “cardio” détruit le cholestérol : running, HIIT, vélo, corde à sauter… C’est vrai, ces activités stimulent la brûlure du cholestérol “mauvais” (LDL). Mais les exercices de force offrent un complément essentiel :

C’est l’association de ces deux types d’effort qui maximise la régulation lipidique. Sans musculation, le cardio seul peut passer à côté de cet impact fondamental sur le métabolisme des lipides.

Les clés d’un programme efficace

Pour vraiment rééquilibrer son cholestérol, la régularité prime :

Ces recommandations, validées par l’Organisation mondiale de la Santé, forment un cadre cohérent pour réduire efficacement le LDL et les triglycérides, tout en boostant le HDL.

Mon quotidien transformé

Depuis quatre ans, je combine ces pratiques avec une prise unique de 10 mg d’atorvastatine. Résultat : mes bilans sanguins affichent des chiffres jamais vus, alors même que, statistiquement, mon âge devrait favoriser une remontée du cholestérol.

Voici mon rythme-type :

Au-delà de la salle : arrêter la sédentarité

Pour Mary, chaque geste compte. Elle recommande d’intégrer des “pauses actives” dans sa journée :

Ces mini-exercices cumulés viennent soutenir l’action plus intensive des séances sportives, favorisant une meilleure santé cardiovasculaire.

Le facteur alimentation : un soutien, pas une solution

Si réduire les graisses saturées et privilégier fibres, fruits, légumes et oméga-3 demeure conseillé, l’alimentation seule ne suffit pas. En Espagne, plus de 80 000 décès ont été attribués aux maladies cardiovasculaires en 2024, avec le cholestérol élevé comme co-responsable dans 60 % des cas. C’est dire l’urgence de combiner diététique et activité physique.

Pour les 40 ans et plus : adapter l’intensité

La musculation montre un impact encore plus marqué après 40 ans, lorsque la masse musculaire tend naturellement à décliner. Quelques conseils :

Adopter la pratique comme un art de vivre

Pour Mary, la clé réside dans le plaisir : choisir des activités qui donnent envie, varier les séances et célébrer chaque progrès. En transformant la gestion du cholestérol en un rituel bien-être, on s’offre non seulement une meilleure santé, mais aussi une source d’énergie et de confiance au quotidien.

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