Depuis quelques mois, Violeta Mangriñán caressait un rêve : quitter la routine des allers-retours en AVE pour installer définitivement son foyer à Madrid, aux côtés de son compagnon Fabio Colloricchio et de leurs deux filles, Canela et… l’aventure ne fait que commencer. Les travaux de sa nouvelle maison à Majadahonda sont enfin sur le point de s’achever, mais l’influenceuse vient de révéler plusieurs désagréments de taille qui la poussent à menacer de saisir la justice. En tant que fondatrice de MadameMary.fr, je partage avec vous cette histoire pleine de rebondissements, et quelques conseils pour éviter, à votre tour, ces mauvaises surprises lors d’une rénovation.

L’achat d’un rêve à Majadahonda

Pour trouver un compromis entre un cadre de vie familial et la proximité de la capitale, Violeta a jeté son dévolu sur un chalet de 380 m² répartis sur trois niveaux. Après avoir vendu sa maison à Valence, jugée trop éloignée, elle misait sur une indépendance totale : jardin privatif, piscine, et suffisamment d’espace pour que ses filles grandissent en toute liberté. Avec un projet de cette envergure, la promesse d’une hypothèque équivalente à son ancien loyer semblait être la cerise sur le gâteau : environ 2 500 € mensuels, un investissement qu’elle juge « incroyable, mais sûr ».

Une rénovation pensée dans les moindres détails

Accompagnée d’un architecte réputé et d’une entreprise de construction locale, Violeta a entièrement repensé l’intérieur et l’extérieur de cette demeure neuve. Au programme :

  • Remplacement intégral de la piscine, autrefois vieillissante, par un bassin aux lignes épurées.
  • Agencement sur trois niveaux, incluant un espace de vie ouvert, plusieurs chambres et une suite parentale avec terrasse.
  • Choix de finitions haut de gamme : parquet clair, menuiseries contemporaines, cuisine équipée dotée d’appareils dernière génération.

L’ambiance devait allier modernité et confort, pour offrir un véritable havre de paix en pleine banlieue madrilène.

Un budget maîtrisé… jusqu’aux premières déconvenues

Tout semblait bien calibré, jusqu’à ce que Violeta partage, sur Instagram, les premiers défauts repérés :

  • Fissures et fuites sur certaines canalisations, avec risques de dégâts des eaux.
  • Plinthes qui semblent déjà marquées par un trou d’usure, comme si elles dataient de plusieurs années.
  • Quelques raccords de carrelage et joints mal réalisés, nuisant à l’esthétique générale.

Alors que l’influenceuse clame avoir déjà répercuté ces réserves auprès de la société de construction et du cabinet d’architecture, elle assure ne pas vouloir emménager tant que « tout n’est pas impeccable ». Un combat légitime, qui soulève la question du suivi de chantier et des garanties offertes par les professionnels.

La parole libérée de Violeta

Dans un message relayé par Trendencias, Violeta tient à clarifier deux points :

  • L’architecte qui a piloté le projet n’est pas responsable des malfaçons constatées : il a déjà défendu son travail et assuré que ni la rupture de tuyauteries ni l’état des plinthes ne relevaient de son intervention.
  • Elle a officiellement demandé à la constructrice d’assumer ses responsabilités : « Si elle ne prend pas en charge les réparations, je n’hésiterai pas à porter l’affaire devant la justice », explique-t-elle.

Cette posture ferme traduit l’importance de choisir des professionnels sérieux et de suivre chaque étape, du gros œuvre aux finitions, sans jamais baisser la garde.

Ce que cette mésaventure nous apprend

En tant que lectrices et lectrices de MadameMary.fr, nous sommes nombreuses à nous lancer dans des projets immobiliers ou de rénovation. Voici quelques astuces pour sécuriser votre investissement :

  • Vérifiez les assurances : avant toute signature, assurez-vous que votre constructeur et votre architecte disposent bien d’une assurance dommages-ouvrage et d’une responsabilité civile couvrant la période de garantie décennale.
  • Réalisez des visites régulières : n’attendez pas la réception des clés ; passez sur le chantier à chaque étape cruciale (fondations, charpente, second œuvre, finitions) et notez toutes vos remarques par écrit.
  • Déléguez un mandataire : si vous n’avez pas le temps de gérer le suivi quotidien, faites appel à un conducteur de travaux ou à un expert indépendant pour vérifier le bon déroulement des opérations.
  • Ne cédez pas sous la pression : si vous identifiez des défauts, exigez leur correction avant de procéder à la réception. Vous disposez d’un droit de réserve qui vous protège tant qu’il est exprimé clairement.

En appliquant ces conseils, vous minimiserez les risques de mauvaises surprises, comme celles qu’a vécues Violeta. Et lorsque votre maison de rêve prendra enfin vie, elle reflétera votre exigence de qualité et votre goût pour le bien-être, à l’image du style de vie inspirant que nous défendons sur MadameMary.fr.

By Mary